WorldSkills France
Michel Guisembert, président du Comité d’organisation WorldSkills Lyon 2024 entouré des champions lors de la victoire de la candidature pour l’accueil de la compétition mondiale des métiers WorldSkills.
La première réunion du comité d'organisation pour l'accueil à Lyon (Rhônes) en 2024 de la compétition mondiale des métiers WorldSkills s’est tenue le 8 octobre à Paris. Du 10 au 15 septembre 2024, plus de 1 700 jeunes compétiteurs de 85 pays vont se confronter dans 65 métiers.

Alors que l'équipe de France est revenue multimédaillée de la compétition EuroSkills avec 16 médailles, dont celle du frigoriste Antoine Diita, et une troisième place au classement général, la compétition mondiale se prépare déjà pour 2024. Organisées sur un cycle de deux ans, dont le point d'orgue est la finale mondiale qui a lieu à chaque édition dans un pays différent, ces compétitions sont l'occasion « d’ouvrir le dialogue avec la jeunesse autour des métiers et de la formation professionnelle au niveau mondial ».

Une édition 2024 avec de hautes ambitions

Avec sa candidature pour accueillir à Lyon cette compétition mondiale, WorldSkills France a présenté sa charte déclinée en 24 engagements et neuf thématiques. On y retrouve notamment : l'accompagnement des compétences sur le continent Africain via des collaborations avec différents pays pour « intégrer la dynamique d'une compétition de métiers dans leurs démarches de formation » ou encore le développement des échanges culturels et de pratiques professionnelles en organisant une rencontre entre chaque équipe nationale présente en 2024 et une école de la région Lyonnaise (programme One School One Country).

« La jeunesse est la raison d’être de la compétition des métiers WorldSkills, souligne Michel Guisembert, Président du comité d’organisation WorldSkills Lyon 2024. L’accueil à Lyon de la compétition mondiale va nous donner l’occasion d’aller plus vite et plus fort dans notre mobilisation en faveur des métiers et de l’excellence mais aussi de donner un nouvel élan à notre mobilisation internationale autour de la francophonie. La mobilisation générale de l’ensemble des parties prenantes de la formation professionnelle autour de ce projet est le signe de ce nouvel élan collectif. »